De nombreuses personnes ont du mal à comprendre la différence entre la médecine conventionnelle et la médecine douce. Elle se différencie dans leur approche et leur pratique. Pourtant, l’une a besoin de l’autre pour obtenir un résultat efficace. Il est important de savoir les définir et de déterminer leur caractéristique.
La médecine douce reste une méthode de traitement issue de la tradition. Elle se repose sur la croyance dans le but de soigner, de prévenir et guérir les maladies mentales et physiques. Elle est caractérisée par différents types de thérapies, dont l’acupuncture, l’homéopathie, la phytothérapie, l’ostéopathie, l’aromathérapie, la médecine chinoise, l’hypnose, la luminothérapie et la méditation. Elle peut-être complémentaire avec la médecine scientifique ou conventionnelle. Les médecines douces se différent de la médecine conventionnelle, car cette dernière option est prouvée par la méthode scientifique et elle est la plus répandue dans le monde occidental en particulier et dans le monde en général. Elle nécessite plusieurs années de formation dans les écoles de médecines pour être intégrée dans le corps de médecin conventionnel. La médecine alternative et la médecine conventionnelle possèdent des approches différentes, mais elles se complètent. De nombreux docteurs en médecine suivent la formation en médecine douce pour bénéficier de ses avantages et pour pratiquer la médecine douce dans son intégralité. D’une manière générale, la médecine conventionnelle utilise la médicamentation, la thérapie et la chirurgie pour soigner les malades. Les soins et les traitements doivent être issus des connaissances scientifiques qui sont prouvées et validées. La différence entre ces deux pratiques réside sur les approches où la médecine non conventionnelle opte pour le recours à la nature et à la tradition pour la méthode de la guérison tandis que la médecine conventionnelle baptisée la médecine occidentale se base sur les pratiques scientifiquement prouvées pour guérir les patients. Actuellement pour un résultat optimal et pour soigner au maximum les patients, les chaires universitaires de recherches et les scientifiques se penchent sur la question de la complémentarité entre la médecine douce et la médecine conventionnelle. De nombreuses institutions du monde anglophone notamment dans le continent américain du nord s’engagent pour renouveler leur programme d’enseignement de la médecine. Ils essayent de nos jours d’intégrer les approches de la médecine alternative dans leur université pour l’obtention du diplôme en docteur en médecine. Les étudiants américains commencent actuellement à étudier l’apiculture, la psychologie, la méditation et la santé par les plantes. Ces deux procédés sont complémentaires, mais non plus concurrentes. L’objectif reste le même, la méthode de guérison les diffère.